Ken MACLEOD |
LA VEILLÉE DE NEWTON |
A la fin du XXIe siècle, l’humanité a failli périr lors de la crise du Ravissement funeste, guerre cataclysmique due à l’accession à la conscience des I.A. militaires. La plupart de ces entités posthumaines ont disparu – on ne sait trop où – laissant derrière elles quelques poches d’êtres humains qui commencent à coloniser la galaxie grâce aux reliques technologiques abandonnées par les I.A., notamment un réseau de portails reliant plusieurs mondes. Trois siècles plus tard, Lucinda Carlyle, membre du clan qui contrôle ce réseau, mène une expédition sur le monde d’Eurydice. Elle y découvre un vaste artefact énigmatique qui recèle peut-être des secrets profitables. Mais Eurydice est habité par des humains qui ont fui notre système solaire lors du Ravissement funeste. L’arrivée de Lucinda et des siens va bouleverser leur existence paisible et prospère en réactivant les terribles machines de guerre qui sommeillaient autour de l’artefact. Pour certains, cependant, la mission de Lucinda représente l’espoir d’un retour sur Terre et de la libération des millions d’âmes stockées par les intelligences posthumaines avant leur disparition. Retrouver l’être aimé ne vaut-il pas de courir tous les risques ? |
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Ken MacLeod est né en 1954 dans les îles Hébrides, à l’ouest de l’Écosse. Diplômé de l’Université de Glasgow en zoologie, il a écrit une thèse sur la biomécanique et travaillé comme programmeur. Auteur de neuf romans publiés en anglais, il se situe au cœur même de la mouvance du Nouveau Space Opera, comme son ami de longue date, Iain M. Banks. Il combine avec verve les concepts scientifiques les plus en pointe avec une conscience politique et historique très développée, le tout pimenté par un sens de l’humour particulièrement fin… Ses romans et nouvelles ont remporté deux prix Prometheus (pour la SF d’inspiration libertaire), un British Science Fiction Award et un Prix Sidewise (décerné aux uchronies).
Par mauriceandre
Salut les Babelionautes
Ce space opéra avait tout pour me plaire mais il lui manque je ne sais quoi pour en faire un bon roman.
L'omniprésence de la nanotechnologie et le fait que la mort n'est pl... Lire la suite