Adam ROBERTS |
VA DINCI CODDAH |
Avec son sang, le mourant avait écrit une phrase unique en lettres rouges dégoulinantes. Cela ressemblait à une affirmation sanglante et cinglante :
L’ECLISE CHATHOLIQUE M’A TUER ! Durant de longues secondes, le docteur Robert Donglan observa le mystérieux message. — Voilà la raison pour laquelle nous vous avons dérangé si tard, Docteur Donglan, dit Tash. Ce mystérieux message. — C’est peut-être un anagramme, suggéra Robert. — On y avait pensé, répliqua Tash. Pouvez-vous le déchiffrer ? Donglan sourit. — Bien sûr. C’est ma spécialité, affirma-t-il. Il essaya d’ajouter : « Mon nom en anagramme est : ‘ton rang bordel’. » Mais au lieu de cela, il dit : — Mon nonanna… monana nanna… Et s’arrêta. Ainsi commence l’histoire du plus grand complot de tous les temps. Avec la mort d’un conservateur renommé, un aiglefin d’un mètre enfoncé dans la gorge. Et c’est à un jeune homme, anagrammatologue de renom, et une jeune et belle cryptologue de la police française qu’il incombe de mener l’enquête. Le Va Dinci Coddah : un mystère qui changera radicalement votre vision du monde et vous ôtera pour toujours l’envie de lire un autre livre. |
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Adam Roberts, né en 1965, est un romancier et critique anglais influent. Il enseigne la littérature anglaise à l'université de Cambridge et donne des cours d'écriture à l'université de Londres (Royal Holloway). Il a été nominé deux fois pour le Prix Arthur C. Clarke : en 2001 pour son premier roman, Salt, et en 2007 pour Gradisil.
Par PaulCitron
Complètement allumée, cette parodie de Da Vinci code m'a fait hurler de rire, entre références détournées à l'oeuvre originale, franchissements du quatrième mur (j'adore ce procédé) et énigmes barrées... Lire la suite
Par ValentineF
J'ai bien aimé. Je le classerais derrière (loin derrière) Lord of the ringard mais très loin devant Barry Trotter.
Il est dans la veine des parodies de l'auteur, on prend les mêmes et on recommence à... Lire la suite